vendredi 31 janvier 2014

Torse de Centauresse, oeuvre du sculpteur Auguste Rodin - photomontage

 
 
 
Torse de Centauresse - Auguste Rodin (1884)
 
 
 
 

Pêcheurs tirant un bateau hors de l'eau à Honfleur, de Claude Monet

 
 
Pêcheurs tirant un bateau hors de l'eau à Honfleur - Claude Monet (1864)
 
 

jeudi 30 janvier 2014

Couple de Manchots à jugulaire et leurs petits

 

Le Manchot à jugulaire est en effectif, la deuxième plus importante espèce de manchots après le gorfou doré. On dénombre 7.500.000 de couples, dont 5.000.000 habiteraient les îles Sandwich du Sud. Son nom lui a été donné en raison de la ligne noire qui parcourt son menton. Il ressemble au Manchot Adélie.
Le Manchot à jugulaire adulte mesure de 65 à 80 cm et pèse environ 4 kg, poids variant pour atteindre un maximum avant la mue et un minimum juste avant d'élever les petits.
Ils vivent principalement en Antarctique et les îles Shetland du Sud, dans l'archipel des Orcades du Sud. On les trouve en Géorgie du Sud et îles Sandwich du Sud sur l'île Zavodovski où se trouve la plus grande au monde, mais aussi sur les îles Balleny, Bouvet et île Peter.
Comme tous les manchots, les Manchots à jugulaire ne se nourrissent qu'en mer. Ils pêchent en majorité des krills et quelques petits poissons. Ils peuvent plonger à plus de 180 mètres sous l'eau et y rester une vingtaine de minutes sans respirer. Ils font des bonds hors de l'eau pouvant aller jusqu'à 2 mètres de hauteur.
Ce sont des animaux agressifs et bruyants (au point qu'ils sont surnommés stonebreaker en anglais, soit casseur de roches en raison de leur cri). Ils ne s'entendent pas très bien avec le manchot Adélie, dont ils partagent l'habitat, car ils ont l'habitude de leur prendre leurs nids. Ils sont en outre assez audacieux, et peuvent aller jusqu'à se battre avec d'autres manchots.

Extraits : Wikipedia

 
 
 
Couple de Manchots à jugulaire et leurs petits
 
 
 

Torres del Paine, massif granitique du Parc national du Chili

 
 
Trois formations granitiques emblématiques du massif del Paine : les Torres (Tours) del Paine du parc National du Chili
 
 
 
 

mercredi 29 janvier 2014

Le Strandkorb, symbole des plages de la Mer du Nord et de la Mer Baltique

 

Le Strandkorb ou Cosy Beach est un siège spécialement conçu pour la plage. Il est formé d’une structure en bois avec deux sièges et un toit arrondi (pour le modèle Mer du Nord) que l’on peut basculer d’avant en arrière.
L’ensemble forme une niche confortable rembourrée au niveau du siège et du dossier et colorée permettant de se protéger du vent, de la pluie, du soleil ou du sable.
Le Strandkorb possède encore deux poignées latérales pour faciliter son transport ou son orientation. Sous le siège deux tiroirs  peuvent être tirés vers l’avant améliorant sensiblement le confort de l’usager dans une position plus allongée. Il est encore rendu plus confortable lorsqu’il est muni d’accoudoirs, de tablettes, de petits stores.

On peut le trouver dans quasi toutes les stations balnéaires de la Mer du Nord ou de la Mer baltique, de la Basse Saxe, du Schleswig-Holstein et du Mecklembourg  avec quelques différences essentiellement d’ordre esthétique. Ils peuvent être loués auprès des gardiens, du printemps jusqu’à l'automne. En morte saison, ils sont retirés des plages pour notamment les protéger contre le mauvais temps et les fortes tempêtes assez fréquentes et les remettre en état pour la saison suivante.

L’invention du premier Strandkorb est attribuée à Wilhelm Bartelmann, maître-artisan vannier à Rostock, vers 1882.
Le Strandkorb est le symbole des plages de la Mer du Nord et de la Mer Baltique. Il est maintenant distribué en Europe et même en Nouvelle-Zélande.

 
 
 
Strandkorb de la plage de Westerland sur l'île de Sylt - Nord-Ouest de l'Allemagne, à proximité du Danemark
 
 
 

mardi 28 janvier 2014

Le Parc national de la Vanoise

Parc National de la Vanoise
 

Le massif de la Vanoise, situé dans les Alpes du Nord, est ceinturé par deux vallées : au nord, la Tarentaise au sud, la Maurienne. Entre ces deux vallées, se sont développés une vie traditionnelle montagnarde, des impacts industriels, la pénétration du tourisme. La Vanoise, ce sont les sommets perçus par les citadins, convoités par les alpinistes. Le parc national de la Vanoise a été le premier parc national créé en France en 1963.

La Vanoise révèle une architecture complexe. Dans l'épais manteau de schistes, l'érosion a modelé un réseau de vallées, resserrées vers l'aval (Moûtiers ou Saint-Jean-de-Maurienne) et évasées vers le haut en longs versants et en vastes corbeilles à l'étage des alpages. Au cœur de la nappe, des noyaux cristallins se sont dégagés en hauts reliefs entre 3.500 et 3.850 mètres : mont Pourri et Bellecôte, Péclet et Chasseforêt, ainsi que l'écaille calcaire de Grande Casse (3.852 mètres) et Grande Motte.

Le massif est marqué par une civilisation paysanne spécifiquement montagnarde, une tradition pastorale bien vivante. L'économie touristique s'est d'abord infiltrée discrètement, puis s'est imposée en une vague de fond massive.

Il n'y eut longtemps que Brides et ses bains et Pralognan comme but de promenade et base d'alpinisme (1870). La villégiature gagne timidement quelques villages avant 1914, puis est à l'origine, vers 1938, du village résidentiel de Méribel construit sur le modèle de Megève.
La révolution vient de la démocratisation du ski alpin. Tignes et Val d'Isère permettent d'accéder, dès 1931, à d'immenses domaines d'altitude, devenus les Trois Vallées.
Ancrage d'une nouvelle façon d'habiter la montagne pour le loisir, la station de Courchevel est conçue en 1946. Elle sert de référence, après 1960, aux « stations intégrées » : La Plagne, Les Menuires, Les Arcs, Le Mottaret relayant Méribel, Val Thorens, Valmorel... La Tarentaise devient le plus grand domaine skiable équipé du monde, offrant en hiver un tiers de la capacité française en hébergement de sports d'hiver et près de 50% du parc des remontées mécaniques.

Dans le même temps, le parc national de la Vanoise a été le premier espace protégé de ce type en France. Sur 52 800 hectares couvrant tous les hauts massifs, c'est une aire de protection de la faune, de la flore et des paysages, gérée par un établissement public. Il contribue à soutenir le pastoralisme traditionnel et se propose, malgré les contraintes de sa mission de préservation, de promouvoir le tourisme en montagne et de mener un patient travail pédagogique.

Source : Encyclopédie Universalis

 
 
 

La Dent Parrachée est un sommet de la partie méridionale du massif de la Vanoise.
Sa voie normale d'accès passe, depuis Aussois, par le refuge de la Dent Parrachée ou par le refuge de la Fournache.

 
 
 

lundi 27 janvier 2014

La Charette. Route sous la neige à Honfleur - Claude Monet

 

Cette vue de Honfleur a été datée de 1865 par Monet, après l'entrée du tableau au Louvre en 1911. Toutefois, la correspondance d'un peintre local, Alexandre Dubourg, évoquant les paysages de neige peints par l'artiste en 1867, font désormais préférer cette dernière date. Le toit visible à gauche serait celui de la ferme Saint-Siméon, le lieu de rendez-vous des peintres qui séjournent et travaillent alors régulièrement dans ce coin de Normandie : Troyon, Daubigny, Corot, Courbet, Boudin, Jongkind ou Bazille...et bien sûr Monet.

En choisissant un tel thème, Monet suit l'exemple de Courbet qui avait eut recours à des paysages enneigés dans diverses scènes de genre. Mais, contrairement à son aîné, dont le motif principal reste le cerf avec le chasseur et qui multiplie les anecdotes, Monet peint un paysage quasi désert, n'attribuant à la charrette et à son occupant qu'un rôle très secondaire.

La campagne recouverte de neige donne à Monet l'occasion d'étudier les variations de la lumière et de jouer sur les nuances. Souhaitant rénover la représentation du paysage, l'artiste utilise un nombre limité de teintes. Il privilégie les terres, c'est à dire les couleurs brunes, et les bleus qu'il décline en de multiples tons pour iriser le sol de reflets, au lieu de le représenter uniformément blanc.
Monet peint ainsi plusieurs "effets de neige" au cours de la seconde moitié des années 1860. Le plus remarquable d'entre eux est sans doute la célèbre Pie (musée d'Orsay), datant de l'hiver 1868-1869. C'est d'ailleurs en décembre 1868 qu'il avoue dans une lettre à son ami Bazille trouver la campagne normande "peut-être plus agréable encore l'hiver que l'été...".

Source: Extraits Musée d'Orsay Paris

 
La charrette. Route sous la neige à Honfleur - Claude Monet (1867)
Huile sur toile H. 65 ; L. 92,5 cm - Musée d'Orsay Paris - Legs du comte Isaac de Camondo, 1911
 
 
 
 

dimanche 26 janvier 2014

Le loup

 
 
Le loup, animal mythique
 
 
 
 

samedi 25 janvier 2014

Le colley à poil long, chien berger d'origine écossaise

 

Le colley à poil long est un chien berger d’origine écossaise. C'est un chien intelligent, doux, affectueux, patient et protecteur envers les enfants, extrêmement attaché à ses maîtres, ce qui en fait un très bon compagnon.
Son éducation demande fermeté mais douceur, car il ne supporte ni l'injustice ni la brutalité. Il est assez méfiant vis-à-vis des étrangers ce qui en fait également un bon gardien. Son image a été popularisée par la célèbre Lassie, à la robe zibeline.

Il est très actif, aime courir et a d'excellentes aptitudes à la pratique de l'agility.
Son espérance de vie est environ de 12-13 ans, mais il est déjà arrivé que des individus vivent jusqu'à 17 ans.

Son pelage peut présenter trois colorations différentes :
• « zibeline » ou « sable » : la plus classique (à l'image de la célèbre Lassie) : fauve avec marques blanches sur le collier et les extrémités. (pattes, queue)
• « tricolore » : majoritairement noir avec marques fauve (les « feux »), collier et extrémités blancs.
• « bleu-merle » : semblable au tricolore mais le noir de la robe est remplacée par une couleur gris-bleu parsemée d'éclaboussures noires. Le colley bleu merle peut avoir les yeux vairons.

 
Colley à poil long à la robe zibeline
 
 

vendredi 24 janvier 2014

Gerardmer (Vosges), reflets sur le lac à 7 heures

 
 
Reflets sur le lac de Gerardmer (Vosges) à 7h00 du matin
 
 

La Télécabine Panoramic Mont-Blanc, diaporama

Vallée Blanche en télécabine
 

La télécabine Panoramic Mont-Blanc, anciennement appelée télécabine de la Vallée Blanche, est située dans le massif du Mont-Blanc. Elle constitue techniquement, un téléphérique véritable (avec 1 câble porteur fixe et 1 câble tracteur) de type pulsé permettant d'effectuer un parcours aérien de 5.093 m en à peu près 30 à 35 minutes, au-dessus de la Vallée Blanche et du glacier du Géant, depuis l'Aiguille du Midi située en France à 3.842 m, jusqu'à la pointe Helbronner marquant la frontière avec l'Italie à 3.466 m.
Lors du parcours, la télécabine survole les séracs et les crevasses de ce glacier de haute montagne et permet de profiter de points de vue uniques et exceptionnels, à proximité des sommets atteignant ou dépassant les 4.000 m.
Ce téléphérique pulsé passe, après une travée de 1.684 m, dans un bâtiment-pylône situé sur le Gros Rognon (où la ligne est déviée de 7 à 9 ° vers la droite) puis traverse le glacier du Géant (travée de 2.831 m) avant de franchir le col des Flambeaux (pylône suspendu à trois câbles transversaux) pour enfin arriver 447 m plus loin à la Pointe Helbronner à 3.466 m.

 
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Diaporama durée : 5 minutes environ
La télécabine Panoramic Mont-Blanc
 

Les Grands Boulevards, de Auguste Renoir

 
 
Les Grands Boulevards - Auguste Renoir (1875)
 
 
 
 

jeudi 23 janvier 2014

L' Aiguille Verte, massif du Mont-Blanc

 
 
L'Aiguille Verte 4122 m
Massif du Mont-Blanc
 
 

Les Aiguilles Rouges et l'église de Chamonix

 
 
Les Aiguilles Rouges et l'église de Chamonix
Celles-ci font face à la chaîne du Mont-Blanc
 
 

mercredi 22 janvier 2014

Mont Blanc du Tacul et Aiguilles du Diable, Alpes françaises

 
 
Mont-Blanc du Tacul 4248 m et Aiguilles du Diable (5 arêtes de 4064 m à 4109 m) au premier plan, face sud-ouest
Au second plan, l'Aiguille Verte 4122 m au sommet enneigé, à l'arrière-plan les Alpes suisses
 
(photo prise depuis le Mont Maudit en surplomb)
 
 
 
 

mardi 21 janvier 2014

Le Mont Everest 8848 m, Chaîne de l'Himalaya, camp de base

 
 
Le Mont Everest 8848 m face nord est - Chaîne de l'Himalaya - Camp de base
 
 
 
 
 
 
 
L'Everest à tout prix - Film documentaire en français - Durée 56'17"
(régler la qualité de la vidéo sur 480p dans Paramètres)
 
 
 

La Seine à Rouen, oeuvre de Claude Monet

 
 
La Seine à Rouen - Claude Monet 1862
 
 
 

lundi 20 janvier 2014

La Petite France à Strasbourg

 
 
 
La Petite France - La Maison des Tanneurs à Strasbourg
 
 
 
 
La Maison des Tanneurs cachée partiellement par les branches se reflète dans le canal
 
 
 
 

Dans le parc de Saint Cloud, du peintre Auguste Renoir

 
 
 
 
 

dimanche 19 janvier 2014

Argentine, gardiens de troupeau

 
 
 
 
 

Saint Valentin - Cartes numériques

Saint Valentin - cartes numériques
 
 
 
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samedi 18 janvier 2014

La Baie de Somme

La baie de Somme
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

vendredi 17 janvier 2014

Combloux, village de la Haute-Savoie, face au Mont-Blanc

Combloux, station de la Haute-Savoie face au Mont-Blanc
 

Combloux est une commune française située en Haute-Savoie à quelques kilomètres seulement des stations de Saint-Gervais-les-Bains, de Megève et de Chamonix. La station à 1.000 m d'altitude offre une vue exceptionnelle sur le Mont-Blanc. Un des plus beaux panoramas des Alpes : 360 ° sur les chaînes du Mont-Blanc, des Fiz, des Aiguilles rouges et des Aravis.
Combloux est un village de charme typiquement montagnard. L'église avec son clocher à bulbe, le village est respectueux d'une architecture traditionnelle : chalets et fermes sans béton ni grand ensemble.

 
 
Le clocher de l'église de Combloux entre le Mont-Blanc et l'Aiguille du Bionnassay
 
 
 
 

L'Eiger et l'église luthérienne de Grindelwald - Suisse

 
 
L'Eiger et l'église luthérienne de Grindelwald - Suisse
 
 

Cartes numériques de la Saint Valentin

Cartes numériques de la Saint Valentin
         
     
         
         
         
     
         
         
 
4 cartes au format 420 x 600 pixels - Pour télécharger, faites un clic droit sur l'image, puis "Enregistrer l'image sous ..."

Autres cartes à télécharger
 
         
         

mercredi 15 janvier 2014

La Tour Eiffel - Vue aérienne

 
 
La Tour Eiffel - Vue Plein Ecran avec touche F11
Premier plan : Ecole Militaire - Champ de Mars - Tour Eiffel
Arrière-plan : La Seine et le Pont Iena, le Jardin du Trocadero - le Palais de Chaillot - le Quartier de la Défense
 
 
 

mardi 14 janvier 2014

Ecureuil gris roux

 
 
Ecureuil gris roux
 
 
 
 

lundi 13 janvier 2014

Inondation de la Seine à Vétheuil, Claude Monet (1881)

 
 
Inondation de la Seine à Vétheuil - Claude Monet (1881)
Huile sur toile, 60 x 73,5 cm, E.W.K Berne
 
 
 

Scarlett Johansson

 
 
 
 

dimanche 12 janvier 2014

Le Border Collie, chien de race

Le Border Collie, chien berger
 

Le Border Collie est un chien de berger tenace, travailleur, très docile, concentré, ardent, intelligent, très craintif, mais très peu agressif. Sa sélection, basée sur le travail, en fait un animal dynamique, actif et demandeur d'activités. Presque totalement sélectionné pour le travail sur troupeau, le Border Collie présente une particularité bien spécifique : il a un besoin irrépressible, presque obsessionnel, de rassembler, de rabattre tout ce qui semble se disperser ou fuir. Il peut cependant être un parfait compagnon, pour peu qu'on lui propose suffisamment d'activités.

Par contre, la sélection et le travail des éleveurs ont engendré une grande diversité de caractères et d'apparences. Dans l'idéal, le Border Collie n'est jamais agressif. Il ne doit pas non plus être trop craintif, mais la race l'est. C'est un chien équilibré, intelligent, capable d'analyser de nombreuses situations. Facile à dresser - si on tient compte de son très fort instinct de « rabatteur » et si on sait faire preuve de souplesse - il est capable d'apprendre et d'effectuer toutes sortes de tâches. C'est un chien très attachant, mais il peut se montrer dominant. Il faut rester très vigilant. Le maître peut avoir une très grande complicité avec son chien car celui-ci est très à l'écoute de son maître. Il est très « énergique » et demande beaucoup de temps à son maître.
Dans toutes les disciplines que l'on peut pratiquer avec un border Collie, il convient de veiller à ne pas dépasser l'endurance de son chien : le côté volontaire peut conduire à l'épuisement total de l'animal, car il ne sait pas toujours s'arrêter : tant qu'il y a du travail, il y va !

L'activité de prédilection du Border Collie reste la garde et le déplacement des troupeaux - ovins, bovins, il écoute autant son maître pour les deux mais, son dévouement est plus grand dans le premier cas (sur ovins) - où il peut exprimer pleinement ses capacités et donner libre cours à son instinct. Ardent travailleur, généralement docile mais sachant prendre des initiatives, très complice avec son maître, il possède une grande force : celle du « pouvoir de l'œil ». On dirait qu'il hypnotise les animaux sur lesquels il doit veiller. De ce fait, il travaille de manière très précise, généralement en douceur, même s'il sait aussi s'imposer par les crocs, si nécessaire. C'est le chien le plus utilisé pour le travail agricole, et c'est également la race la plus représentée dans les concours sur les troupeaux, quels qu'ils soient (« inter-race » ou « spécial Border »).

Source : Wikipedia

 
 
Border Collie bicolore noir et blanc
 
 
 
 

samedi 11 janvier 2014

vendredi 10 janvier 2014

La séduction - Megan Fox

 
 
 
 

Le Bal du Moulin de la Galette, Pierre-Auguste Renoir (1876)

Le Bal du Moulin de la Galette, Pierre-Auguste Renoir (1876)
 

Pierre-Auguste Renoir dit Auguste Renoir (1841-1919) est l'un des plus célèbres peintres français. Membre à part entière du groupe impressionniste, il évolue dans les années 1880 vers un style plus réaliste sous l'influence de Raphaël. Il fut peintre de nus, de portraits, paysages, marines, natures mortes et scènes de genre, pastelliste, graveur, lithographe, sculpteur et dessinateur. Pendant environ soixante ans, il a peint à peu près six mille tableaux.

Il expose avec les Impressionnistes de 1874 à 1878 et réalise son chef-d'œuvre : le Bal du Moulin de la Galette, à Montmartre. Le tableau est acheté par Gustave Caillebotte, membre et mécène du groupe. Cette toile ambitieuse est caractéristique du style et des recherches de l'artiste durant la décennie 1870 : touche fluide et colorée, ombres colorées, non-usage du noir, effets de textures, jeu de lumière qui filtre à travers les feuillages, les nuages, goût pour les scènes de la vie populaire parisienne.

Autour de 1880, en pleine misère (Renoir n'arrive pas à vendre ses tableaux, la critique est souvent mauvaise), il décide de ne plus exposer avec ses amis impressionnistes mais de revenir au Salon officiel, seule voie possible au succès. De fait, grâce à des commandes de portraits prestigieux - comme celui de Madame Charpentier et ses enfants - il se fait connaître et obtient de plus en plus de commandes. Son art devient plus affirmé et il recherche davantage les effets de lignes, les contrastes marqués, les contours soulignés.

Entre 1881 et 1883, Renoir effectue de nombreux voyages qui le mènent dans le sud de la France à l'Estaque, où il rend visite à Paul Cézanne, en Afrique du Nord où il réalise de nombreux paysages, et en Italie. C'est là-bas que se cristallise l'évolution amorcée dès 1880. Au contact des œuvres de Raphaël, Renoir sent qu'il est arrivé au bout de l'impressionnisme, qu'il est dans une impasse. Désormais, il veut faire un art plus intemporel et plus « sérieux ». Il entre alors dans la période dite "ingresque", "sèche" ou "aigre", qui culmine en 1887 lorsqu'il présente ses fameuses Grandes Baigneuses à Paris. Les contours de ses personnages deviennent plus précis. Il dessine les formes avec plus de rigueur, les couleurs se font plus froides, plus acides.

De 1890 à 1900, Renoir change de nouveau son style. Ce n'est plus du pur impressionnisme ni le style de la période ingresque, mais un mélange des deux. Il conserve les sujets d'Ingres mais reprend la fluidité des traits. La première œuvre de cette période, les Jeunes filles au piano (1892), est acquise par l'État français pour être exposée au musée du Luxembourg.

En 1903, il s'installe avec sa famille à Cagnes-sur-Mer. Renoir fait l'acquisition du domaine des Collettes, sur un coteau à l'est de Cagnes, afin de sauver les vénérables oliviers dont il admirait l'ombrage et qui se trouvaient menacés de destruction par un acheteur potentiel. Le 3 décembre 1919, il s’éteint dans son « Domaine des Collettes » à Cagnes-sur-Mer, des suites d'une congestion pulmonaire.Il est enfin reconnu.

Source : Wikipedia

 
 
Bal du Moulin de la Galette - Pierre-Auguste Renoir (1876)
Le tableau semble flou. C'est un choix délibéré du peintre de mettre le flou partout.
 
 

Bal du Moulin de la Galette, 1876
Musée d'Orsay Paris

Cette toile achevée en septembre 1876 est une huile sur toile qui mesure H. 131 ; L. 175 cm. Elle a été présentée à la troisième "Exposition impressionniste" et est maintenant conservée au musée d’Orsay.

La scène se déroule en plein air (contrainte que s'imposaient les impressionnistes), un dimanche après-midi, un jour de beau temps au Moulin de la Galette à Montmartre. Les personnes présentes dans la scène sont des amis du peintre : modèles, peintres, habitués du lieu, parmi lesquels on reconnaît : l’écrivain Georges Rivière, le peintre Goeneutte, Lamy qui sont installés à la table du premier plan et une dénommée Estelle qui est assise sur le banc ainsi que Frédéric Samuel Cordey. Renoir représente ainsi sur sa toile, une foule joyeuse de personnes de tous les milieux sociaux, qui partagent du bon temps, dansent à gauche, bavardent à droite, fument et boivent.

On peut définir trois plans : au premier plan, la discussion des personnes assises, au second plan les danseurs et au troisième plan des bâtiments où l’on aperçoit l’orchestre.

Au lieu d’utiliser comme le font la plupart des peintres, la netteté au premier plan puis progressivement un flou, il met le flou partout et la seule distinction de profondeur se fait par la taille des personnes représentées. Il décide de représenter cette scène dans une ambiance bleutée parsemée de taches de lumière réparties inégalement comme si elles traversaient le feuillage des arbres pour parvenir auprès de la foule.

C’est grâce à la lumière que Renoir fait ressortir ces personnages, par exemple le couple à gauche de la scène semble être entouré de lumière au sol et la robe rose clair de la femme renforce cet effet et les met en avant. Renoir utilise aussi des couleurs pastel plus ou moins vives à certains endroits.

 
 
 
 

jeudi 9 janvier 2014

Femme portugaise de Robert Delaunay (1916)

Femme portugaise de Robert Delaunay (1916)
 

Robert Delaunay a appartenu à un mouvement de la peinture française appelé Orphisme, d’après Orphée, un héros de la mythologie grecque. Delaunay a cru que l'impact émotionnel des couleurs pures, comme celui de musique, est immédiat. La palette forte de la Femme portugaise a été inspirée par les couleurs brillantes que Delaunay a trouvées au Portugal, où il a vécu de 1914 à 1917. Ici, les cercles concentriques et les plans parallèles sont tirés du Cubisme.

Voir aussi : Air, Iron, Water du peintre Robert Delaunay

Plein écran avec la touche F11 de votre clavier.

 
 
Femme portugaise - Robert Delaunay (1916)
Huile sur toile 135,9 x 161 cm - Colombus Museum of Art (Etats-Unis)
 

mercredi 8 janvier 2014

La Grande Avenue de New-York sous la Pluie, oeuvre de Childe Hassam (1917)

La Grande Avenue de New-York sous la pluie - Oeuvre de Childe Hassam (1917)
 

Les œuvres les plus remarquables et célèbres de la vie postérieure de Childe Hassam composent un ensemble d'environ trente peintures connues sous le nom de "La série de Drapeaux". Il les a commencé en 1916, où il a été inspiré par "une Parade d'État de préparation", organisée en vue de la participation de soldats américains à la Première Guerre mondiale aux côtés des Alliés, qui s’est tenue dans la Cinquième Avenue à New York (rebaptisé « l'Avenue des Alliés » ).

Avide francophile, descendant d’une famille anglaise et fortement antigermanique, Hassam a soutenu avec enthousiasme la protection de la Culture française et la cause Alliée. Pratiquement depuis le début du conflit en 1914, il a rejoint d'autres artistes pour unir leurs efforts de convaincre les américains à participer à la guerre, quand, dans le même temps, la plupart d'entre eux aussi bien que le Président Woodrow Wilson étaient résolument isolationnistes.  Hassam a même envisagé de se porter volontaire pour assurer le reportage des évènements sur place en Europe, mais le gouvernement n'approuverait pas le voyage. Il a même été arrêté puis libéré rapidement pour avoir innocemment esquissé des manœuvres navales le long des rivières de la ville. En plus du temps qu'il a consacré à beaucoup de comités, plusieurs de ses images de drapeau ont permis de contribuer financièrement à l’effort de guerre en échange de titres « Obligations de la Liberté ». Bien qu'il ait eu de grands espoirs que la série entière allait se vendre (pour 100,000 $), comme "un ensemble de monuments aux morts", les images ont été vendues individuellement après plusieurs expositions, le dernier à Corcoran Gallery en 1922.

Claude Monet, parmi d'autres artistes français, avait peint lui aussi des œuvres dont le thème représentait des drapeaux. Mais ceux de Hassam présentaient un caractère spécifiquement américain, avec son propre style de composition et de vision artistique, il montrait les drapeaux affichés dans la plus célèbre avenue de New York.  Dans la plupart des peintures de la série, les drapeaux dominent le premier plan, tandis que dans d'autres, les drapeaux font simplement partie du panorama festif. Dans certains, le drapeau américain est le seul à flotter en vagues successives, dans d'autres, les drapeaux des Alliés flottent aussi.

Dans sa peinture la plus impressionniste de la série, on relève « L'Avenue Sous La Pluie » (1917), qui, depuis l’administration Kennedy,  a fait partie de la collection permanente de la Maison Blanche. Les drapeaux et leurs reflets sont si troublants qu’ils donnent l’illusion d’être vue à travers une fenêtre dont les vitres sont enduites de gouttelettes de pluie. En entrant dans la Maison Blanche, Barack Obama a voulu le montrer en fixant ce tableau sur un des murs de son bureau ovale.

Les peintures de drapeaux d'Hassam couvrent toutes les saisons, dans des conditions différentes de temps et de luminosité. Hassam fait ainsi une déclaration patriotique sans aucune référence manifeste aux parades, aux soldats ou à la guerre, mis à part pour une image montrant un drapeau hurlant "Achètent des Obligations de Liberté !".  Les peintures de drapeaux de Hassam figurent parmi les collections du Metropolitan Museum of Art, du New York Historical Society, du Virginia Museum of Fine Arts et de la National Gallery of Art.

source : Wikipedia

voir aussi : Les Champs-Elysées, oeuvre du peintre américain Childe Hassam

 
 
La Grande Avenue de New-York sous la pluie - Childe Hassam (1917)
(reproduction partielle de l'oeuvre)
 
 
 
 
 
Reproduction totale du tableau
 
 
 
 
 
Bureau ovale du Président Barak Obama à la Maison Blanche
Le tableau de Childe Hassam est fixé au mur
 
 
 
 

lundi 6 janvier 2014

La Montagne Sainte Victoire, une oeuvre de Paul Cézanne

La Montagne Sainte Victoire, une oeuvre de Paul Cézanne
 

Durant les dernières années de sa vie, Cézanne réalisa de nombreuses versions de tableau de paysage de la plaine d’Aix-en-Provence et du Mont Sainte-Victoire qui se dresse derrière celle-ci.

Tout en continuant le développement impressionniste de la dissolution de formes en coups de pinceau individuels, il construit sa toile en appliquant des taches planes de couleurs, et ainsi avec quelques coups de pinceau, il compose ses formes de base, qui donnent lieu aux tonalités de couleurs et à la structure de l’image.

De forts coups de pinceau  - à peu près les seuls traits de la composition – soulignent la structure de la montagne, qui se détache sur le ciel, à l’horizon, et émerge de la moitié intérieure du tableau.

La géométrisation du paysage est sensible dans l’application même de la couleur, juxtaposée en larges coups de brosse. Seuls quelques éléments sont identifiables comme la maison au premier plan.

Chaque pas successif raffine et concentre les harmonies déjà mises en place. Dans ce tableau présenté au Kunsthaus de Zurich, une œuvre créée par Cézanne déjà très âgé, nous découvrons des endroits sans aucune peinture, où la toile avec sa toute légère couche de fond fait ainsi partie intégrante de la composition, et qui nous révèle une ouverture d’esprit, de créativité et une vision cosmique cristalline et claire.

A voir ou revoir aussi :
- Paul Cézanne
- Cézanne et la Provence

 
 
 
La Montagne Sainte-Victoire vue des Lauves, Paul Cézanne (vers 1904/06)
Huile sur toile 63.5 x 83 cm - Kunsthaus Zurich
 

dimanche 5 janvier 2014